Le noir, plus qu’une couleur (code couleur ici), est un monde où officie la peur, que vous imaginez peuplé d’êtres malfaisants en raison de certaines croyances, et qui vous attire en même temps, un monde que vous aimeriez découvrir, avec toutefois une pincée de réticence, pour vous libérer enfin de vos craintes profondes et infondées et repartir plus légers, forts de certitudes qu’il vous faut à tout prix véhiculer. Le noir s’invite à l’heure où toute forme d’activité décline, où les rues s’imprègnent petit à petit de silence. L’heure où il est temps de dissimuler son ombre derrière quatre murs et se sentir en sécurité. Le noir conditionne, oblige à se protéger, à s’effacer dans le sommeil jusqu’à ce qu’une lueur le perce pour finir par le chasser. Parfois certains résistent, refusent d’être ainsi manipulés. Dans le noir, ils veulent scintiller et s’éclater ; le noir, ils veulent s’y jeter et le braver comme bon leur semble. Une plongée dans le noir est une escapade périlleuse. Mais une fois qu’elle est engagée, il est bien difficile d’amorcer la remontée tant le noir exerce une forte attraction comparable à celle d’un aimant. Ce noir attractif, vous le retrouverez en parcourant Noir sur Blanc, le meilleur roman policier, qui bénéficie d’une personnalisation très poussée dont cette maison d’édition nîmoise s’est fait une spécialité. Afin de faire la lumière sur cette affaire policière qui a resurgi du passé et qui glace le sang, osez braver le noir en devenant le personnage principal de ce roman personnalisé dont vous allez entendre parler longtemps.

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